« ça ne finira donc jamais! » mots de lassitude de mon grand-père, poilu de 14, à mon père lors de son départ en Algérie en 56. Éternel recommencement ! Cette crèche est d’abord un hommage à mes proches, vivants ou décédés.
Leurs récits ou silences montrent l’âpreté et la dureté de la guerre.
Noël vient nous rappeler que des hommes et des femmes, de tous temps, sous toutes les latitudes, œuvrent pour l’avènement de la paix, que cela est encore possible aujourd’hui.
Il suffit d’y croire et espérer.
Béatrice GIROUX
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